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Il y a de la musique du monde qui circulent dans les veines de Maïa,Elle a créer dans KODAMA, son nouvel album, un son hybride et moderne en mélangeant les chant traditionnel Japonais et son electro, dance. Elle précise qu’elle adore aller danser et qu’elle a récemment eu un grand coup de coeur pour les DJ deep house Sud Africain.
Leur son mixant des percussions et chant traditionnel avec des sons électronique mais toujours avec beaucoup d’espace a peut être influencé la sonorité du disque.
« Ce qui a été le plus important à transmettre dans les chants traditionnel est l’énergie,pas faire du jolie en enveloppant les mélodies avec des harmonies complexes mais de façons plus rock et direct avec une ligne de basse et un groove  »
Après le 11mars, Maïa s’est ressourcée dans sa partie Japonaise.
En commençant à réarranger ces chants façons instinctif avec toute sincérité et liberté, elle a été agréablement surprise par les sonorité qui pouvaient à des moments sonner comme des chants orientales.
– Je me suis amusé à changer le texte, rajouter ou enlever des choeurs..
Martin Meissonnier le producteur qui a ouvert des portes à la World music notamment en travaillant avec King Sunny Ade, Fela Kuti …a été le complice de Maïa dans son laboratoire de son.
-l’album a été fait dans le studio de Martin. Martin ma donné plein d’idées.
Partout où il allait, il composait sur son ordinateur et il m’envoyait des des rythmes ou début de composition.
son idée de Aizu a été composé pendant son séjour à Istanbul par exemple!
La moitié du répertoire n’est pas des chants traditionnel mais des compositions mais tout se mélange avec homogénéité. surement car tout passe par le filtre de son âme forte et profonde.
« IL y a probablement des gens qui me diront que je ne chante pas ces chants comme il le faut. mais les critiques sont évidentes quand on démoli pour recréer.
Je prendrais ces paroles comme des compliment! et c’est du blues, la bonne façon de les chanter est…as you feel !non?
Vous entendrez surement des Kodamas (des échos ) du futur en écoutant cet album.

 

yomiuri15:02


Le nouvel album de Maïa Barouh est un mélange de sons modernes,électroniques et chants puissants et gutturaux.
Des chants comme Soran bushi ou Aizu Bandaisan sont réarrangés de façon unique.
Née à Tokyo d’une mère Japonaise et d’un père français (le parolier et producteur Pierre Barouh),Maïa enchaine les voyages et rencontre de nombreux artistes musiciens de tout horizons depuis son très jeunes âge.
L’aventure de son dernier album a commencé après le séisme et le tsunami qui a touché le Japon en 2011. »je pense que nous avons besoin de nous accrocher à nos racines quand on est perdu…j’ai donc voulu me ressourcer dans ces chants mais tout en restant dans le courant contemporain, dans mon époque »
Le producteur, Martin Meissonnier est un producteur très renommé dans les musiques du monde. Le travail de son extrêmement subtil homogénéisent un répertoire qui est pourtant très varié entre chants traditionnel et compositions.
Maïa chantait déjà depuis quelque temps les chant traditionnel de l’ile de Amami Oshima et jouait depuis son adolescence dans les groupes chindon.
« en me ressourçant dans ces chants,j’ai découvert une vrai ressemblance entre les chants d’Asie et des chants d’ailleurs »
Mon père répétait souvent que les chants de fête de Aomori ressemblaient aux chants Napolitain!

 

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TV Bros.」最新号のMUSIC欄レビューで、サラーム海上さんが「マイア・バルー/

KODAMA」をいち早くご紹介して下さいました。